Favoriser l’espoir chez les étudiant·e·s
Sur cette page
L’espoir peut être puissant. Il peut changer la façon dont nous envisageons l’avenir et influencer tous les aspects de notre bien-être. Sur cette page, Allo J’écoute collabore avec l’Institut du savoir pour offrir aux étudiant·e·s de niveau postsecondaire des renseignements sur les sentiments d’espoir et les façons de nourrir l’espoir au quotidien. À la fin de cette page, tu trouveras un lien vers le site Web de l’Institut du savoir, où tu pourras lire l’intégralité de sa ressource sur l’espoir.
Les sentiments d’espoir peuvent contribuer à ton bien-être général. Ils peuvent t’encourager à :
- atteindre tes objectifs (p. ex., à l’école ou au travail);
- t’adapter au changement;
- renforcer ton estime de soi;
- te sentir plus confiant·e et motivé·e;
- surmonter les obstacles;
- donner la priorité à ta santé mentale et à ton bien-être.
Selon Statistique Canada, les gens de partout au pays ont du mal à ressentir de l’espoir. Différents facteurs, certains sous ton contrôle et d’autres hors de ton contrôle, peuvent contribuer à ta capacité à nourrir l’espoir (tu peux suivre ce lien pour obtenir des renseignements de Jeunesse, J’écoute). En voici quelques exemples :
- Accès à un soutien social;
- Expériences en lien avec le racisme, les préjugés ou la discrimination;
- Situation·s financière·s ou économique·s;
- Liens significatifs de qualité avec les autres;
- Événements dans le monde (p. ex., la pandémie de COVID-19 ou les changements climatiques).
Si des obstacles t’empêchent de ressentir de l’espoir, tu pourrais essayer certaines stratégies d’adaptation, comme :
- nouer des relations avec d’autres personnes (p. ex., ami·e·s, camarades de classe, Aîné·e·s, membres de la famille ou de la communauté, ou modèles);
- explorer des activités et des passe-temps (p. ex., jardinage, coloriage, danse ou lecture) afin de prendre soin de toi-même;
- te concentrer sur ce que tu peux faire ou contrôler (et non pas sur ce qui est hors de ton contrôle);
- t’impliquer dans ta·tes communauté·s;
- pratiquer la pleine conscience ou la conscience de soi;
- trouver du soutien sur le campus et à l’extérieur de celui-ci.
Peu importe tes sentiments sur l’espoir, tu n’es pas seul·e. Pour en savoir plus sur l’espoir et les façons de l’entretenir, tu peux explorer le site Web de l’Institut du savoir.
Tu pourrais remarquer que le langage, le style, les processus et d’autres éléments utilisés par l’Institut du savoir diffèrent de ceux d’Allo J’écoute. Tu peux toujours utiliser les mots, les ressources et le soutien qui te conviennent le mieux.
Si, en tant qu’étudiant·e de niveau post-secondaire, tu cherches à obtenir de l’aide concernant tes sentiments d’espoir ou ta santé mentale, tu peux contacter un·e intervenant·e professionnel·le ou un·e répondant·e aux crises bénévole en tout temps. L’équipe d’Allo J’écoute est là quand tu as besoin de parler!
Études postsecondaires : consommation d’alcool
Sur cette page
La consommation d’alcool est courante dans les films, les livres et la musique, et à la télévision. Toutefois, ce n’est pas seulement une activité présentée dans les médias. C’est aussi quelque chose que les gens font dans la vraie vie et qui peut avoir des répercussions concrètes. Sur cette page, Allo J’écoute collabore avec l’Institut du savoir pour offrir aux étudiant·e·s de niveau postsecondaire des renseignements sur la consommation d’alcool et la santé mentale. À la fin de cette page, tu trouveras un lien vers le site Web de l’Institut du savoir, où tu pourras lire sa ressource complète sur la consommation d’alcool.
Certaines personnes peuvent choisir de consommer de l’alcool pour :
- renforcer leur confiance en elles;
- célébrer une étape importante;
- gérer des émotions difficiles;
- expérimenter des substances;
- s’intégrer à un groupe;
- suivre l’exemple d’un·e parent ou tuteur·rice;
- s’amuser;
- se détendre;
- soulager leur stress.
Selon des facteurs comme la quantité et la fréquence, la consommation d’alcool peut entraîner différentes conséquences. En voici quelques exemples :
- Intoxication alcoolique;
- Pertes de conscience;
- Cancer;
- Conduite en état d’ébriété;
- Gueule de bois;
- Incidence sur le rendement à l’école ou au travail;
- Altération de la prise de décision;
- Troubles de mémoire;
- Comportements impulsifs ou potentiellement dangereux;
- Cirrhose du foie;
- Violence.
Si tu consommes de l’alcool, tu peux prendre certaines mesures pour réduire le risque de dommages et prendre soin de ta santé mentale et de ton bien-être (tu peux suivre ce lien pour voir des astuces de Jeunesse, J’écoute). En voici quelques exemples :
- Éviter de laisser une boisson sans surveillance;
- Éviter de mélanger différentes substances;
- Manger un repas complet avant de boire de l’alcool ou de consommer des substances;
- Prendre une boisson non alcoolisée entre deux boissons alcoolisées;
- Élaborer un plan de sécurité (tu peux suivre ce lien pour utiliser l’outil de Jeunesse, J’écoute);
- Prévoir un moyen sécuritaire de rentrer chez toi (p. ex., déterminer un·e conducteur·rice désigné·e);
- Fixer tes propres limites (et les respecter!);
- Partager ton emplacement avec des personnes de confiance;
- Prendre des pauses.
Si la consommation d’alcool affecte ta vie, tu n’es pas seul·e. Partout au Canada, des mesures de soutien individuelles et collectives peuvent t’aider ou aider tes proches. Pour en savoir plus sur la consommation d’alcool et sur les façons de donner la priorité à ta santé et à ton bien-être, tu peux consulter le site Web de l’Institut du savoir.
Tu pourrais remarquer que le langage, le style, les processus et d’autres éléments utilisés par l’Institut du savoir diffèrent de ceux d’Allo J’écoute. Tu peux toujours utiliser les mots, les ressources et le soutien qui te conviennent le mieux.
Si, en tant qu’étudiant·e de niveau postsecondaire, tu cherches à obtenir de l’aide avec ta consommation d’alcool (ou de toute autre substance) ou ta santé mentale, tu peux contacter un·e intervenant·e professionnel·le ou un·e répondant·e aux crises bénévole en tout temps. L’équipe d’Allo J’écoute est là quand tu as besoin de parler!
Automutilation : renseignements et stratégies
Sur cette page
L’automutilation se produit lorsqu’une personne tente de se blesser pour essayer de faire face aux pensées, des sentiments ou des expériences difficiles. Les personnes qui se mutilent pour ces raisons n’ont pas forcément l’intention de mourir, mais peuvent s’infliger des blessures pour tenter de réorienter leurs émotions, de retrouver un sentiment de contrôle ou de se défouler, par exemple. Sur cette page, Allo J’écoute collabore avec l’Institut du savoir pour offrir aux étudiant·e·s de niveau postsecondaire des renseignements sur l’automutilation et les façons de s’adapter. À la fin de cette page, tu trouveras un lien vers le site Web de l’Institut du savoir, où tu pourras lire sa ressource complète sur l’automutilation.
De nombreux facteurs peuvent inciter quelqu’un à se mutiler. En voici quelques exemples :
- Problèmes d’acceptation de soi, d’estime de soi ou de confiance en soi;
- Pensées ou sentiments confus;
- Dépression;
- Difficultés relationnelles à la maison, à l’école, au travail, etc.;
- Expériences d’abus;
- Culpabilité
- Isolement;
- Préjugés, discrimination ou racisme;
- Autopunition;
- Honte;
- Luttes identitaires;
- Traumatismes.
Si tu te mutiles et que tu cherches d’autres façons de gérer tes pensées et tes sentiments, tu peux envisager les stratégies qui te sont les plus accessibles dans la liste ci-dessous :
- Communiquer avec d’autres personnes pour obtenir du soutien (p.ex., ami·e·s, membres de la famille ou de la communauté, camarades de classe, aîné·e·s, professeur·e·s, travailleur·euse·s sociaux·ales, médecins, infirmier·ère·s, etc.);
- Contacter une ligne d’assistance, ou les services d’urgence ou communautaires les plus près de chez toi;
- T’exprimer par l’art (p. ex., dessiner, peindre, écrire, chanter, jouer d’un instrument, etc.);
- Te joindre à un groupe de soutien avec d’autres personnes qui ont vécu une expérience avec l’automutilation;
- Écouter de la musique que tu aimes;
- T’exercer à respirer profondément (tu peux suivre ce lien pour consulter un outil de Jeunesse, J’écoute);
- Pratiquer la pleine conscience et la méditation (tu peux suivre ce lien pour consulter un outil de Jeunesse, J’écoute);
- Commencer à tenir un journal (tu peux suivre ce lien pour consulter un outil de Jeunesse, J’écoute);
- Essayer des techniques de diversion (activités à faire au lieu de se mutiler).
Si l’automutilation affecte ta santé mentale et ton bien-être, tu n’es pas seul·e. Un soutien est offert aux personnes qui se mutilent et à leurs proches. Pour découvrir d’autres façons de gérer tes pensées, tes sentiments ou ton rapport avec l’automutilation, tu peux consulter le site Web de l’Institut du savoir.
Tu pourrais remarquer que le langage, le style, les processus et d’autres éléments utilisés par l’Institut du savoir diffèrent de ceux d’Allo J’écoute. Tu peux toujours utiliser les mots, les ressources et le soutien qui te conviennent le mieux.
Si, en tant qu’étudiant·e de niveau postsecondaire, tu cherches du soutien en lien avec l’automutilation ou ta santé mentale, tu peux contacter un·e intervenant·e professionnel·le ou un·e répondant·e aux crises bénévole en tout temps. L’équipe d’Allo J’écoute est là quand tu as besoin de parler!
Études postsecondaires : temps d’écran
Sur cette page
Faire défiler un fil d’actualité, regarder des vidéos, prendre des notes, jouer à des jeux, faire des recherches… La journée typique d’un·e étudiant·e de niveau postsecondaire peut inclure beaucoup de temps d’écran. Comme tu peux probablement le deviner, ces heures s’accumulent rapidement. Sur cette page, Allo J’écoute collabore avec l’Institut du savoir pour offrir des renseignements sur le temps d’écran, la santé mentale et le bien-être. À la fin de cette page, tu trouveras un lien vers le site Web de l’Institut du savoir, où tu pourras lire sa ressource complète sur l’utilisation des écrans.
Le temps d’écran (ou l’utilisation des écrans) désigne les périodes que tu passes sur des appareils électroniques (téléphones, ordinateurs, téléviseurs, tablettes, etc.). Il peut être actif (si tu interagis directement avec quelque chose sur un écran) ou passif (si tu regarde un écran, mais que tu n’interagis pas avec lui directement).
Le temps d’écran raisonnable dans une journée varie d’une personne à l’autre, tout comme les effets possibles de l’utilisation des écrans. Voici quelques exemples d’effets possibles :
- Sentiment de soutien lorsque tu communiques avec des communautés en ligne;
- Occasion de s’informer et d’apprendre de nouvelles choses;
- Possibilité de rester en contact avec des ami·e·s, des membres de la famille et de la communauté, des professeur·e·s, des camarades de classe, etc.;
- Augmentation de la productivité et de l’efficacité;
- Troubles du sommeil;
- Amélioration de la santé physique (p. ex., accès à des cours d’exercices en ligne);
- Incidence sur les résultats scolaires;
- Augmentation du niveau de stress;
- Diminution de l’activité physique;
- Accès plus équitable à l’éducation, à l’information, aux programmes, aux services, etc.;
- Pression des pairs pour agir d’une certaine manière, répondre à certaines attentes, etc.;
- Fatigue visuelle.
Le temps d’écran (tu peux suivre ce lien pour obtenir des renseignements d’Habilo Médias) peut devenir préoccupant s’il commence à interférer avec la façon dont tu fonctionnes au quotidien. Voici quelques astuces pour utiliser les écrans de manière moins intrusive :
- Avoir des conversations ouvertes sur l’utilisation des écrans avec tes pairs;
- Limiter le temps d’écran avant de s’endormir;
- Évaluer régulièrement ce que tu ressens lorsque tu utilises des appareils électroniques;
- Prévoir des moments sans écran dans la journée;
- Fixer des limites à l’utilisation des écrans;
- Utiliser les écrans d’une manière plus attentive, active et réfléchie.
Peu importe ce que tu ressens à l’égard du temps d’écran ou de ta santé mentale et de ton bien-être, tu n’es pas seul·e. Pour découvrir d’autres façons de réfléchir à ton utilisation des écrans et à ses effets, tu peux consulter le site Web de l’Institut du savoir.
Tu pourrais remarquer que le langage, le style, les processus et d’autres éléments utilisés par l’Institut du savoir diffèrent de ceux d’Allo J’écoute. Tu peux toujours utiliser les mots, les ressources et le soutien qui te conviennent le mieux.
Si, en tant qu’étudiant·e de niveau postsecondaire, tu cherches à gérer ton temps d’écran ou à donner la priorité à ton bien-être, tu peux contacter un·e intervenant·e professionnel·le ou un·e répondant·e aux crises bénévole en tout temps. L’équipe d’Allo J’écoute est là quand tu as besoin de parler!
Études postsecondaires : adaptation aux changements
Sur cette page
Certaines personnes redoutent le changement, alors que d’autres l’acceptent ou le tolèrent. Toutes ces réactions sont correctes! Le changement fait partie intégrante de nombreux aspects de la vie et tout le monde a sa propre façon de le gérer. Sur cette page, Allo J’écoute collabore avec l’Institut du savoir pour offrir aux étudiant·e·s des stratégies à utiliser pour faire face aux changements qu’il·elle·s pourraient rencontrer pendant leur parcours postsecondaire. À la fin de cette page, tu trouveras un lien vers le site Web de l’Institut du savoir, où tu pourras lire sa ressource complète sur l’adaptation aux changements.
Selon ta situation particulière et ce qui se passe dans ta vie, tu pourrais vivre certains des changements suivants pendant tes études postsecondaires :
- S’adapter à des attentes scolaires différentes;
- Trouver l’équilibre entre les activités personnelles et les études;
- Se familiariser avec une nouvelle culture;
- Obtenir un premier ou un nouvel emploi;
- Devenir plus indépendant·e de tes parents ou de la personne qui s’occupe de toi;
- Apprendre à mieux te connaître (p. ex., identité, valeurs, croyances, habitudes, etc.);
- Vivre dans un nouveau lieu (p. ex., nouveau logement, nouvelle ville, etc.);
- Gérer tes propres finances;
- Modifier ta façon de penser et d’apprendre;
- Créer de nouvelles relations (et peut-être tourner la page sur d’autres).
Les exemples ci-dessus ne sont que quelques-uns des changements que tu pourrais observer, car tout le monde a un parcours différent. La façon dont tu réagis aux changements dans ta vie et la manière dont tu gères tes sentiments à l’égard de ceux-ci sont également uniques. Tu peux essayer différentes façons de faire face aux changements pour trouver celle qui te convient le mieux, comme :
- communiquer avec d’autres personnes pour obtenir du soutien (p. ex., ami·e·s, camarades de classe, aîné·e·s, professeur·e·s, membres de la famille ou de la communauté, groupes sur le campus, etc.);
- explorer les ressources de l’école (p. ex., ateliers, clubs, etc.);
- déterminer tes valeurs, tes croyances, tes objectifs, etc.;
- tenir un agenda ou un calendrier pour noter tes activités sociales, ton horaire, etc.;
- organiser ton espace de vie;
- pratiquer un anti-stress;
- réfléchir à tes sentiments;
- rechercher du soutien communautaire;
- essayer de nouvelles choses et saisir de nouvelles occasions (pour renforcer ta confiance).
Peu importe ce que tu penses des changements et des transitions, tu n’es pas seul·e. Pour découvrir d’autres façons de faire face au changement et de donner la priorité à ta santé mentale, tu peux consulter le site Web de l’Institut du savoir.
Tu pourrais remarquer que le langage, le style, les processus et d’autres éléments utilisés par l’Institut du savoir diffèrent de ceux d’Allo J’écoute. Tu peux toujours utiliser les mots, les ressources et le soutien qui te conviennent le mieux.
Si, en tant qu’étudiant·e de niveau postsecondaire, tu cherches du soutien pour faire face à des changements ou pour prioriser ta santé mentale, tu peux contacter un·e intervenant·e professionnel·le ou un·e répondant·e aux crises bénévole en tout temps. L’équipe d’Allo J’écoute est là quand tu as besoin de parler!
Écoanxiété : stratégies d’adaptation à essayer
Sur cette page
Les terres, les eaux et la faune de ta région peuvent jouer un rôle important dans ta santé mentale et ton bien-être. Il est normal d’éprouver des sentiments comme l’anxiété lorsque nous pensons aux effets des changements climatiques sur les gens, les choses et les lieux qui sont importants pour nous. Sur cette page, Allo J’écoute collabore avec l’Institut du savoir pour offrir des renseignements sur les changements climatiques, l’écoanxiété et la santé mentale. À la fin de cette page, tu trouveras un lien vers le site Web de l’Institut du savoir, où tu pourras lire sa ressource complète sur l’écoanxiété.
Réfléchir aux changements climatiques (tu peux suivre ce lien pour obtenir des renseignements du gouvernement du Canada) et à leurs effets sur la planète peut susciter différents sentiments chez certaines personnes. Tu pourrais éprouver les sentiments suivants :
- Colère
- Peur
- Chagrin
- Culpabilité
- Panique
- Tristesse
- Inquiétude
Selon certaines personnes, ces sentiments à l’égard du monde et de son avenir sont de l’écoanxiété (tu peux suivre ce lien pour obtenir des renseignements de Jeunesse, J’écoute). Si tu penses vivre de l’écoanxiété, des stratégies d’adaptation peuvent t’aider à faire face aux changements climatiques et à gérer tes émotions. Tu peux :
- défendre la cause par des moyens qui te sont accessibles;
- collaborer avec des pairs sur le campus et à l’extérieur de celui-ci dans le cadre de projets d’action climatique;
- envisager des changements dans ton quotidien pour protéger l’environnement;
- encourager ton entourage à s’impliquer à tes côtés;
- améliorer tes connaissances sur les changements climatiques;
- te joindre à une organisation d’action climatique;
- donner la priorité à ta santé mentale et à ton bien-être, prendre soin de toi, etc.;
- en parler avec d’autres personnes (ami·e·s, camarades de classe, aîné·e·s, membres de la famille ou de la communauté, professeur·e·s, etc.);
- t’inscrire à un groupe de soutien en personne ou en ligne;
- déterminer quels sont tes sentiments, réfléchir à ceux-ci et décider d’une première action climatique.
Peu importe tes sentiments sur les changements climatiques, tu n’es pas seul·e. Pour découvrir d’autres façons de gérer ton écoanxiété et tes autres émotions liées aux changements climatiques, tu peux consulter le site Web de l’Institut du savoir.
Tu pourrais remarquer que le langage, le style, les processus et d’autres éléments utilisés par l’Institut du savoir diffèrent de ceux d’Allo J’écoute. Tu peux toujours utiliser les mots, les ressources et le soutien qui te conviennent le mieux.
Si, en tant qu’étudiant·e de niveau postsecondaire, tu cherches à obtenir de l’aide pour tes préoccupations en matière de changements climatiques, d’écoanxiété ou de santé mentale, tu peux contacter un·e intervenant·e professionnel·le ou un·e répondant·e aux crises bénévole en tout temps. L’équipe d’Allo J’écoute est là quand tu as besoin de parler!
Tu te sens seul·e ou isolé·e? Tu peux obtenir du soutien.
Sur cette page
De nombreux·euse étudiant·e·s des établissements d’enseignement postsecondaire éprouvent de temps à autre des sentiments de solitude, d’isolement ou de nostalgie. Si tu es un·e étudiant·e international·e nouvellement arrivé·e au Canada, tu peux vivre ces sentiments de façon encore plus intense. Allo J’écoute présente ici des sources de soutien pour les jeunes adultes qui se sentent seul·es pendant l’année scolaire (et surtout les week-ends et lors des vacances, quand l’éloignement du foyer peut être encore plus difficile).
Pourquoi est-ce que je me sens comme cela?
Entreprendre des études postsecondaires, même si c’est souvent gratifiant, peut aussi s’avérer difficile. Les changements au niveau de la vie quotidienne sont nombreux, et ceux-ci peuvent parfois apparaître comme des obstacles insurmontables. Tu pourrais, par exemple, connaître des difficultés dans certains domaines comme :
- les fréquentations amoureuses ;
- la famille ;
- les finances ;
- l’amitié ;
- les performances à l’école ;
- l’hébergement ;
- l’identité ;
- le bien-être.
Les étudiant·e·s internationaux peuvent en outre faire face à d’autres défis comme :
- le choc culturel ;
- la discrimination ;
- les barrières linguistiques ;
- le stress lié à la transition vers une nouvelle culture.
Quels types de soutien puis-je aller chercher?
De nombreux·euse étudiant·e·s se sentent occasionnellement seul·e·s durant les études postsecondaires, et il faut parfois du temps pour s’adapter et se sentir à sa place. Faire partie d’un groupe peut nous donner confiance et un sentiment d’intégration et d’appartenance. Voici quelques suggestions pour débuter! (Nous t’encourageons à suivre celles qui te conviennent le mieux ou qui sont les plus sécuritaires pour toi.)
- Entre en contact avec un·e conseiller·ère en résidence (si tu vis sur le campus) et demande-lui s’il a des astuces ou des idées de rencontres, d’activités, etc. qui pourraient t’aider.
- Communique avec le service d’aide pédagogique, le service d’orientation professionnelle ou le service d’aide financière de ton établissement d’enseignement pour obtenir du soutien concernant tes cours, ta recherche d’emploi ou ton budget.
- Visite ton centre étudiant, ton association étudiante ou consulte le site Web de l’université pour connaître les activités parascolaires et de soutien auxquelles tu pourrais participer sur le campus (clubs universitaires, groupes de loisirs, programmes de santé et de bien-être, athlétisme, etc.).
- Visite un organisme de ton quartier (p. ex., un centre communautaire, un centre récréatif, un centre pour étudiants internationaux ou un centre culturel) pour connaître les événements ou les activités auxquels tu aimerais participer (repas communautaires, célébrations des fêtes, équipes sportives, etc.).
- Consulte les sites Web de services d’intégration des nouveaux·elles arrivant·e·s, comme Vivre au Canada, pour obtenir de l’aide en lien avec le processus d’immigration, les visas de travail, les permis d’études, etc.
- Renseigne-toi sur les programmes, ateliers et cours disponibles ainsi que sur l’aide offerte par des tuteur·rice·s ou mentor·e·s pour les nouveaux·elles arrivant·e·s et leur famille sur des sujets qu’ils·elles aimeraient mieux connaître (p. ex., des cours d’anglais ou de français langue seconde, l’ouverture d’un compte bancaire, une demande de carte Santé, des séances d’information juridique, etc.).
- Rejoins les jeunes du Canada sur notre autre service, la Communauté Jeunesse de Jeunesse, J’écoute, pour échanger sur tes expériences (et interagir avec d’autres jeunes adultes) sur des forums de soutien.
- Repère les lieux de culte à proximité qui te semblent propices à l’épanouissement de ta spiritualité.
- Prévois un moment pour discuter avec ta famille ou tes ami·e·s en utilisant la technologie à ta disposition (car nous avons tous besoin de passer des moments privilégiés avec nos proches!)
- Renseigne-toi auprès d’une banque alimentaire locale pour connaître les possibilités d’aide alimentaire si tu en as besoin.
- Visite la bibliothèque de l’université (ou une bibliothèque publique) pour trouver un espace tranquille pour lire, faire des recherches ou savoir ce qui se passe dans la communauté.
- Essaie une ressource autoguidée d’un partenaire de Jeunesse, J’écoute, comme la Roue du bien-être ou le Ballon.
Tu te sens seul·e, isolé·e ou nostalgique, et tu cherches d’autres moyens d’obtenir du soutien en matière de bien-être, ou simplement quelqu’un à qui parler? Tu peux communiquer avec un·e intervenant·e professionnel·le ou un·e répondant·e aux crises bénévole 24 heures par jour, 7 jours par semaine. Allo J’écoute est là quand tu en as besoin!
Découvre les risques liés au jeu grâce à un jeu en ligne
Savais-tu que les jeux de hasard et d’argent peuvent donner l’impression de jouer à un jeu vidéo? Tu peux en apprendre davantage en jouant à Testez vos (ré)flexes, un jeu sur les risques associés aux jeux de hasard et d’argent.
Les jeux de hasard et d’argent et les jeux vidéo peuvent affecter ton corps et ton esprit de façons similaires. Ton corps peut ressentir un état d’excitation accru, ce qui peut affecter la façon dont ton cerveau prend des décisions. Si tu essaies le jeu vidéo Testez vos (ré)flexes en cliquant ci-dessous, tu pourras en savoir plus sur ce lien entre jeu de hasard et jeu vidéo. Par exemple, tu pourrais avoir envie de jouer encore et encore pour obtenir un meilleur résultat. Tu pourrais ressentir la même chose avec les jeux de hasard et d’argent, c’est-à-dire que tu continues à prendre des risques pour obtenir le résultat voulu.
Quand les jeux de hasard et d’argent deviennent-ils un problème?
Le jeu peut être amusant avec modération, mais il peut devenir un problème lorsqu’il commence à nuire à la vie de la personne qui s’y adonne. Lorsque le jeu commence à devenir une préoccupation, on peut, par exemple, éprouver des difficultés financières, des problèmes relationnels ou des difficultés à se concentrer à l’école.
Comment peut-on se renseigner sur les risques liés aux jeux de hasard et d’argent?
Si tu choisis de jouer, il peut être utile d’en savoir plus sur les risques liés aux jeux de hasard et d’argent afin que le jeu demeure un loisir sans conséquence nuisible. L’intention du jeu vidéo Testez vos (ré)flexes est de t’aider à comprendre ce que le jeu peut te faire ressentir (et non d’encourager ou de décourager les habitudes de jeu). Tu peux essayer le jeu et bénéficier d’astuces personnalisées offertes à l’écran à la fin. Tu peux également découvrir une ressource, proposée par nos amis chez Jeunesse, J’écoute, pour gérer les problèmes liés au jeu.
Afin de proposer Testez vos (ré)flexes, Allo J’écoute s’est associé au Conseil du jeu responsable (tu peux cliquer sur le lien pour en savoir plus sur leur site Web). Cette organisation canadienne se consacre à la lutte contre les risques liés aux jeux de hasard et d’argent et à leurs effets néfastes.
Sur cette page
Essaie Testez vos (ré)flexes
Où puis-je trouver plus de renseignements ou du soutien?
Pour toutes questions au sujet des jeux de hasard et d’argent ou les impacts possibles de ceux-ci sur ton cerveau, ton corps et ton quotidien, communique avec l’un de nos intervenants professionnels ou répondants aux crises bénévoles. Ces services sont offerts 24 heures par jour, 7 jours par semaine. L’équipe d’Allo J’écoute est là, quand tu as besoin de parler.
Allo J’écoute tient à remercier le Conseil du jeu responsable pour son partenariat, l’accès à ses ressources sur le jeu et son soutien à la santé mentale des jeunes en Ontario.
Je pense faire une dépression. Comment obtenir de l’aide?
Si tu lis ceci, c’est possiblement parce que tu te sens triste, découragé ou déprimé et que tu te demandes si tu n’es pas en train de faire une dépression. Nous voulons tout d’abord te dire que tu n’es pas seul, que tu peux obtenir du soutien et qu’Allo J’écoute est là pour t’aider. (Nous sommes là pour toi!) Avant de commencer, tu peux essayer de prendre quelques respirations profondes et apaisantes, et trouver un coin confortable pour regarder tranquillement le contenu ci-dessous.
Sur cette page
Quels sont des signes courants de dépression?
Tout le monde se sent triste à l’occasion. La dépression est généralement une affection profonde, de longue durée, qui peut perturber tes pensées, tes sentiments et tes actions. Bien que chaque cas soit unique, les personnes en dépression peuvent :
- pleurer beaucoup;
- adopter plus souvent des comportements à haut risque;
- avoir des pensées ou des sentiments négatifs;
- penser à la mort ou au suicide;
- se sentir coupés d’elles-mêmes;
- se sentir impuissantes, désespérées, seules, irritables, apathiques, coupables, anxieuses ou stressées;
- être tristes ou déprimées presque tous les jours;
- se sentir fatiguées, comme si elles manquaient d’énergie;
- avoir de la difficulté à se concentrer, à l’école ou au travail;
- avoir un sommeil troublé ou peu d’appétit;
- se désintéresser de ce qui leur plaisait auparavant;
- avoir du mal à prendre des décisions;
- consommer des drogues ou de l’alcool pour faire face à la situation;
- s’isoler de leurs amis et de leur famille.
Quelles sont certaines des causes possibles de dépression?
Savais-tu que la dépression est en fait un des troubles de santé mentale les plus souvent diagnostiqués? Et ce n’est pas « juste une phase » ou quelque chose duquel on peut « s’en sortir » comme certains pourraient le dire. De nombreux facteurs peuvent contribuer au développement de la dépression, y compris (sans s’y limiter) :
- un grand changement de vie;
- des antécédents familiaux de troubles mentaux;
- de l’abus;
- des expériences de racisme ou d’oppression;
- la consommation de substances;
- des traumatismes.
Comment se sent-on quand on fait une dépression?
La dépression peut être vécue différemment par chacun. Parfois, le fait de nommer tes émotions peut t’aider à mieux comprendre ce que tu vis. De jeunes adultes confrontés à la dépression, par exemple, pourraient se sentir comme suit :
désespérés et incapables de dormir à la suite d’une note décevante dans un cours
isolés, nostalgiques et complètement seuls du fait d’être un étudiant étranger
rejetés et dans une spirale infernale et hors de contrôle après une rupture
voués à l’échec et pris dans un tourbillon de pensées et d’émotions tristes concernant l’avenir
seuls et avec l’idée qu’ils n’ont pas leur place ou qu’ils ne seront jamais acceptés à cause de ce qu’ils sont
Où puis-je trouver de l’aide si je pense que je fais une dépression?
Avant d’essayer de t’autodiagnostiquer en faisant des recherches sur Google (nous l’avons tous fait!), rappelle-toi que seuls un médecin, un psychologue ou un psychiatre peuvent diagnostiquer une dépression. Tu peux t’adresser à un médecin ou à un professionnel de la santé mentale, à l’équipe de santé du campus, à un groupe social ou communautaire ou à un autre adulte de confiance pour obtenir plus d’informations sur le soutien que tu cherches.
Que devrais-je dire lorsque je parle avec l’une de ces ressources?
Il peut parfois être difficile d’entamer une conversation. C’est tout à fait normal. Voici quelques exemples dont tu peux t’inspirer (en exprimant ce que tu veux dire de la façon qui te convient le mieux et avec laquelle tu te sens le plus à l’aise) :
Si en discutant avec toi, un médecin, un psychologue ou un psychiatre pose un diagnostic de dépression, il pourra t’expliquer comment la traiter et la gérer pour que tu commences à te sentir mieux. Le traitement de la dépression peut comporter la prise de médicaments, des sessions d’intervention, une thérapie ou d’autres mesures pour améliorer l’humeur (par exemple, faire de l’exercice régulièrement, un programme d’autosoins, une routine de sommeil, etc.). Même si on ne t’a pas diagnostiqué une dépression, le professionnel avec qui tu travailles peut t’orienter vers d’autres formes de soutien, peu importe ta situation.
Allo J’écoute sait qu’avoir accès à du soutien en matière de santé mentale peut être difficile pour certains étudiants de niveau postsecondaire. Nos intervenants professionnels et nos répondants aux crises bénévoles peuvent offrir un soutien gratuit et confidentiel, ainsi que des références à des ressources sur le campus, le tout 24 heures par jour, 7 jours par semaine. Tu peux aussi consulter en tout temps les ressources suivantes pour des informations supplémentaires et du soutien. (Nous les utilisons parfois!)
- Toutematête
- Aller mieux… à ma façon – Soutien à l’autogestion
- FeelingMoodie (disponible en français)
- mood. by mindyourmind App (quelques ressources en français)
Les étudiants de niveau postsecondaire traversent souvent des hauts et des bas dans leur parcours scolaire et de bien-être. Si les bas s’accompagnent de sentiments de tristesse prolongés, tu peux nous appeler ou nous texter 24 heures par jour, 7 jours par semaine pour obtenir de l’aide. L’équipe d’Allo J’écoute est là quand tu as besoin d’en parler!
8 affirmations pour réfléchir sur les liens que tu entretiens
Sur cette page
Les relations (de tous genres) peuvent être complexes et différentes pour chacun d’entre nous. Les affirmations relationnelles d’Allo J’écoute peuvent t’aider dans tes réflexions sur tes liens avec les autres. Elles peuvent également t’aider à reconnaître les aspects d’une relation que tu aimerais renforcer ainsi que les signes indiquant qu’une relation peut être toxique ou dangereuse pour toi.
En parcourant cette liste, par toi-même ou avec un ou des partenaires, tu peux penser à une relation que tu vis actuellement, à une relation passée ou à une nouvelle relation que tu envisages. Tu n’as pas besoin de t’identifier à tout ce qui figure sur la liste. Il s’agit plutôt de réfléchir à comment les choses se passent pour toi et pour tes partenaires en général. Bien que ces affirmations portent davantage sur les liens romantiques, émotionnels, sexuels ou physiques, certaines peuvent également être utiles pour évaluer d’autres types de relations dans ta vie.
Les affirmations relationnelles d’Allo J’écoute
Mon partenaire et moi sommes libres d’être nous-mêmes
Dans nos interactions, chacun peut exprimer sa vraie personnalité. Chacun possède son identité propre et distincte (p. ex., des intérêts, des passe-temps et des amitiés à soi). Personne n’essaie de contrôler l’autre (p. ex., en lui disant ce qu’il doit faire, quels vêtements porter ou qui fréquenter).
Mon partenaire et moi nous respectons mutuellement
Nous respectons les limites de chacun. Nous ne poussons pas l’autre au-delà de ses limites et nous n’essayons pas d’outrepasser ses limites. Nous faisons preuve de respect pour les responsabilités, les projets et le temps de l’autre (p. ex., en évitant de faire en sorte qu’un partenaire se sente mal de privilégier ses études, ses soins personnels ou ses engagements antérieurs). Nous ne nous humilions pas l’un l’autre et nous ne nous dénigrons pas (p. ex., en utilisant un langage sarcastique ou péjoratif).
Mon partenaire et moi avons confiance l’un en l’autre
Nous avons chacun les intérêts de l’autre à cœur. Puisque la confiance peut prendre du temps à se construire, nous y travaillons en permanence. Nous ne brisons pas nos promesses et nous respectons nos engagements.
Mon partenaire et moi nous soutenons mutuellement
Nous nous sentons tous les deux aidés et appréciés. Nous montrons notre soutien en écoutant, en aidant, etc. Parfois, le simple fait d’être là suffit! Nous sommes attentionnés et gentils l’un envers l’autre.
Mon partenaire et moi nous sentons en sécurité – émotionnellement et physiquement
Nous nous écoutons l’un l’autre, nous pouvons nous exprimer sans crainte et nous savons que nous pouvons aborder des problèmes pour les résoudre ensemble. Nous n’employons pas d’ultimatums. Nous reconnaissons les signes de violence ou d’abus dans les fréquentations (tu peux cliquer sur ce lien pour plus d’informations provenant de l’initiative américaine « That’s Not Cool » (disponible en anglais seulement)). Nous n’avons pas besoin de faire attention à ce que nous disons ou faisons par peur de fâcher l’autre personne. Nous n’utilisons pas de menaces (p. ex., de se faire du mal ou de faire mal à l’autre) afin de contraindre l’autre à faire quelque chose.
Mon partenaire et moi sommes égaux dans notre relation
Dans l’ensemble, nous tentons de faire les mêmes efforts dans notre relation, et aucun de nous n’exerce un contrôle sur l’autre. Nous ne mettons pas de pression sur l’autre personne afin qu’elle fasse des choses qu’elle ne veut pas faire ou pour lesquelles elle n’est pas encore prête.
Mon partenaire et moi pratiquons la communication ouverte
Nous pouvons parler ouvertement de ce qui nous préoccupe, incluant nos besoins, nos désirs, nos espoirs et nos craintes. Nous démontrons une réelle préoccupation pour les sentiments de l’autre. Nous pouvons être honnêtes quant à nos pensées et nos sentiments et ne ressentons pas le besoin de mentir.
Mon partenaire et moi sommes liés d’une manière qui nous fait du bien et qui favorise notre relation
Nous partageons un lien qui est bénéfique pour les deux. C’est un lien consensuel et réciproque qui nous sécurise et qui peut inclure, entre autres, des aspects émotionnels, physiques, sexuels, spirituels ou intellectuels. De plus, nous nous efforçons d’être présents l’un pour l’autre, et disponibles, surtout en cas de besoin.
Nous espérons que ces affirmations relationnelles t’aideront à réfléchir aux liens que tu entretiens dans ta vie. Si tu veux en savoir davantage sur ce sujet, participe à ce jeu-questionnaire sur les relations personnelles créé par nos amis chez Jeunesse J’écoute. Et si tu veux parler d’une relation actuelle, tu peux t’adresser à l’un de nos intervenants professionnels ou à un répondant aux crises bénévole, 24 heures par jour, 7 jours par semaine. L’équipe d’Allo J’écoute est là pour toi, quand tu as besoin de parler!